Autour de ma vie gravitent des mots, des images, des émotions... Entrez dans ma constellation!
« La durée d’une vie sans toi » Eric Faye P39 « Le départ de l’autre lui laissait un goût troublant de bonheur différé. Il partirait, lui aussi. Le lendemain, quand il avait grimpé au sommet du mur, il n’était plus exactement le même en regardant le même...
Lire la suiteEXTRAIT DE « L’ARBRE À SUCETTES » P 20 « Figure-toi que nous avons trouvé un arbre à sucettes….. …Une maison sur l’avenue, repris-je. Un saule. Un énorme saule croulant sous les sucettes qui attendaient qu’on les cueille. Cet arbre appartient à un couple...
Lire la suiteExtraits de « Se résoudre aux adieux » P 64 Le chagrin ça nimbe. Et puis ça éloigne de soi tout soupçon de méchanceté et de médiocrité. Et moi, j’ai été enchantée que, pour un instant, cet homme me croit gentille et impeccable et pure, simplement parce...
Lire la suiteExtraits de « Les autres » P 41 Un petit capricieux qui se prend pour un homme…ça n’est pas rare. Quand ils ne sont pas adultes au moment où ils sont tenus pour tels, les hommes redeviennent des enfants : tout se passe comme si leur pouvoir patriarcal...
Lire la suiteLE MANUSCRIT DE PORT EBENE Extrait p 141 La lecture doit être tonique et bienfaisante, comme le Glenfiddish elle doit diffuser dans l’esprit, dans le corps, d’infimes et revigorantes parcelles de consolation et d’amitié. Tel était du moins le point de...
Lire la suiteDe passage à Figeac, je suis rentrée dans une toute petite librairie-bouquinerie-café. L'espace est restreint mais très chaleureux. Sur quelques étagères les romans neufs côtoient ceux d'occasion et forment une bigarrure bien tentante, tandis que sur...
Lire la suite"Quand ils étaient ensemble, ils avaient craint toujours de prendre l'habitude. Il ne prendrait donc jamais celle de vivre séparé de Louise." ***** "Mais dès qu'on le laissait seul, il regardait seulement s'écouler le temps qui l'éloignait un peu plus...
Lire la suiteExtrait P135 "Mais il ne te reste à présent que l'angoisse de voir ta vie se faner sous tes yeux, comme un livre lu trop vite, qui n'aura laissé qu'une poussière d'émotions et d'images destinées à s'effacer, pour n'être plus qu'un nom dans la mémoire...
Lire la suiteEXTRAITS DE « L’ARRIERE-SAISON » DE PHILIPPE BESSON (Pocket) P 133 Oui, les femmes pleurent. Les hommes aussi, parfois, moins, mais un peu quand même. Les êtres pleurent quand ils sont blessés, quand ils ont mal, Norman. C’est une histoire aussi vieille...
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