7 mai 2008
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Dans les romans, j'aime bien les beaux sentiments, les jolies phrases, les tourments qui mouillent les yeux. Mais quelquefois j'ai aussi envie de retrouver les émotions fortes de ma période "thrillers".
C'est ce qui a motivé mon choix pour ce livre écrit par Solenn Colléter: le billet de Laure me laissait espérer quelques sensations extrêmes.

Laure et son petit ami Martin sont admis en prépa dans un établissement réputé.
Bizutage obligatoire...
Bien sûr, le sujet ne m'a pas laissée de marbre. Je me souviens, encore aujourd'hui, de l'émotion que j'avais éprouvée devant tous ces témoignages de bizutage. Je me rappele du dégoût devant ces récits. Ma révolte de les savoir indispensables pour faire voter une loi contre une coutume qui n'aurait jamais du exister.
J'ai retrouvé dans ce roman cette même répugnance, mais émotionnellement rien! A vrai dire, passés les 100 premières pages, je me suis plutôt ennuyée. Chaque chapitre répète inlassablement les mêmes cérémonies humiliantes et seules quelques phrases bien senties me sortaient de ma léthargie.
Je n'ai pas trouvé le dénouement de "l'intrigue" très convaincant : un trauma psychologique, au goût de déjà lu.
Malgré tout, l'avant-dernier chapitre m'a récompensée de mon entêtement à finir ce roman. Il explique pourquoi certains proviseurs sont convaincus du bien-fondé du bizutage, comment chaque sévices est pensé pour aboutir à une manipulation psychologique de l'étudiant. Manipulation qui lui restera non seulement obscure, mais dont il se félicitera.
Cuné et Stéphanie n'ont pas mon coeur de pierre. Quant à Laure, plusieurs mois après, il lui reste un souvenir fort de ce roman.
Gambadou a un avis mitigé sur l'écriture, mais son coeur a, quand même, réagi au sujet.
Edition Albin Michel
Crédit couverture: Edition Albin Michel et Fnac.fr
C'est ce qui a motivé mon choix pour ce livre écrit par Solenn Colléter: le billet de Laure me laissait espérer quelques sensations extrêmes.

Laure et son petit ami Martin sont admis en prépa dans un établissement réputé.
Bizutage obligatoire...
Bien sûr, le sujet ne m'a pas laissée de marbre. Je me souviens, encore aujourd'hui, de l'émotion que j'avais éprouvée devant tous ces témoignages de bizutage. Je me rappele du dégoût devant ces récits. Ma révolte de les savoir indispensables pour faire voter une loi contre une coutume qui n'aurait jamais du exister.
J'ai retrouvé dans ce roman cette même répugnance, mais émotionnellement rien! A vrai dire, passés les 100 premières pages, je me suis plutôt ennuyée. Chaque chapitre répète inlassablement les mêmes cérémonies humiliantes et seules quelques phrases bien senties me sortaient de ma léthargie.
Je n'ai pas trouvé le dénouement de "l'intrigue" très convaincant : un trauma psychologique, au goût de déjà lu.
Malgré tout, l'avant-dernier chapitre m'a récompensée de mon entêtement à finir ce roman. Il explique pourquoi certains proviseurs sont convaincus du bien-fondé du bizutage, comment chaque sévices est pensé pour aboutir à une manipulation psychologique de l'étudiant. Manipulation qui lui restera non seulement obscure, mais dont il se félicitera.
Cuné et Stéphanie n'ont pas mon coeur de pierre. Quant à Laure, plusieurs mois après, il lui reste un souvenir fort de ce roman.
Gambadou a un avis mitigé sur l'écriture, mais son coeur a, quand même, réagi au sujet.
Edition Albin Michel
Crédit couverture: Edition Albin Michel et Fnac.fr