9 août 2008
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Ce roman de Camille de Peretti, est le 7ème et avant dernier livre de la sélection Landerneau que je lis.
C'est l'histoire d'un dimanche d'octobre à la maison de retraite des Bégonias: 24h de la vie des pensionnaires et des employés.
Entre salle à manger, patio et infirmerie se côtoient ceux qui ont toute leur raison et ceux qui l'ont moins, ceux qui ont un passé trop lourd et ceux qui l'ont oublié, ceux qui ont vécu l'amour et ceux qui ne l'ont jamais connu ou qui enfin le découvriront....
J'ai eu beaucoup de mal à quitter ce livre. Qu'ils soient bougons, désorientés, gentils, esquintés ou médisants, "j'les aimais, moi, ces p'tits vieux-là" !
Parce que les grognons ont des petites manies attendrissantes et que les odieux se rappellent une jeunesse délabrée, l'auteure a su rendre tous ses personnages attachants.
La solitude de certains m'a inspirée de la compassion, les rivalités des autres m'ont fait sourire. La tristesse des mal-aimés m'a touchée, le délire des bienheureux m'a amusée. L'émotion fut présente à chaque page.
Un roman tout simple qui m'a murmuré combien il est doux d'être altruiste.
J'ai senti se raviver en moi la conviction que mon amour pour l'être humain a toutes ses raisons d'exister. Il m'arrive trop souvent d'en douter...
Caroline vient de publier son avis, tout aussi chaleureux que le mien. Plus anciens, mais non moins ravis, ceux de Cathulu, Lily, Lou, Michel.
Editions Stock
Crédit couverture: Editions Stock et Fnac.fr
C'est l'histoire d'un dimanche d'octobre à la maison de retraite des Bégonias: 24h de la vie des pensionnaires et des employés.
Entre salle à manger, patio et infirmerie se côtoient ceux qui ont toute leur raison et ceux qui l'ont moins, ceux qui ont un passé trop lourd et ceux qui l'ont oublié, ceux qui ont vécu l'amour et ceux qui ne l'ont jamais connu ou qui enfin le découvriront....
J'ai eu beaucoup de mal à quitter ce livre. Qu'ils soient bougons, désorientés, gentils, esquintés ou médisants, "j'les aimais, moi, ces p'tits vieux-là" !
Parce que les grognons ont des petites manies attendrissantes et que les odieux se rappellent une jeunesse délabrée, l'auteure a su rendre tous ses personnages attachants.
La solitude de certains m'a inspirée de la compassion, les rivalités des autres m'ont fait sourire. La tristesse des mal-aimés m'a touchée, le délire des bienheureux m'a amusée. L'émotion fut présente à chaque page.
Un roman tout simple qui m'a murmuré combien il est doux d'être altruiste.
J'ai senti se raviver en moi la conviction que mon amour pour l'être humain a toutes ses raisons d'exister. Il m'arrive trop souvent d'en douter...
Caroline vient de publier son avis, tout aussi chaleureux que le mien. Plus anciens, mais non moins ravis, ceux de Cathulu, Lily, Lou, Michel.
Editions Stock
Crédit couverture: Editions Stock et Fnac.fr