13 mars 2010
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20:57
Il est un temps pas si lointain où je n'ouvrais aucun recueil de nouvelles. Ces histoires trop courtes pour me toucher, trop abruptes pour me satisfaire, me frustraient.
Mais les blogs finissent par créer des tentations, titiller des curiosités. Alors, j'ai commencé à "m'y mettre".
Le tout, je crois, est de ne pas ouvrir un recueil en lieu et place d'un roman. Michel en parle justement ici.
Finalement je commence à bien apprécier.
Pour la toute première fois, donc, j'ai accepté de recevoir un exemplaire de presse de nouvelles. Vu le nombre de billets élogieux déjà publiés sur Emmanuelle Urien, je ne prenais pas beaucoup de risques.

Aucun fil conducteur entre ces 15 histoires. Leur point commun? L'atmosphère. Et là, il n'y a qu'à se référer au titre. Absolument pas mensonger. Oui, ces récits sont bien noirs et sans sucre. Ils ne sont même pas édulcorés. Mais alors pas du tout!
Je dirais cependant qu'un humour (certes un peu grinçant, mais jamais de mauvais goût) s'impose parfois entre les lignes. L'écriture passe, alors, de "déjà bien" à "parfaitement bien".
Si les histoires ne font que quelques pages chacune, leur fin est tellement judicieuse et bien amenée que je ne suis jamais restée sur ma faim. Elles se suffisent parfaitement à elles-mêmes.
Tiens... je me rend compte que j'ai utilisé 2 fois l'adverbe "parfaitement"...
Je me suis surprise à dévorer fébrilement ce recueil, des émois à fleur de coeur. Et oui, parfaitement! (Et de 3!!!)
Emmanuelle Urien a fini de contrer mes éternelles excuses avancées pour ne pas craquer sur les bouquins de nouvelles. Je lui en veux.
Cathulu, Florinette, Martine et Sylire ont aimé aussi. Leurs billets vous conduiront vers d'autres...
Editions Quadrature
Crédit couverture: Editions Quadrature et Fnac.fr
Mais les blogs finissent par créer des tentations, titiller des curiosités. Alors, j'ai commencé à "m'y mettre".
Le tout, je crois, est de ne pas ouvrir un recueil en lieu et place d'un roman. Michel en parle justement ici.
Finalement je commence à bien apprécier.
Pour la toute première fois, donc, j'ai accepté de recevoir un exemplaire de presse de nouvelles. Vu le nombre de billets élogieux déjà publiés sur Emmanuelle Urien, je ne prenais pas beaucoup de risques.

Aucun fil conducteur entre ces 15 histoires. Leur point commun? L'atmosphère. Et là, il n'y a qu'à se référer au titre. Absolument pas mensonger. Oui, ces récits sont bien noirs et sans sucre. Ils ne sont même pas édulcorés. Mais alors pas du tout!
Je dirais cependant qu'un humour (certes un peu grinçant, mais jamais de mauvais goût) s'impose parfois entre les lignes. L'écriture passe, alors, de "déjà bien" à "parfaitement bien".
Si les histoires ne font que quelques pages chacune, leur fin est tellement judicieuse et bien amenée que je ne suis jamais restée sur ma faim. Elles se suffisent parfaitement à elles-mêmes.
Tiens... je me rend compte que j'ai utilisé 2 fois l'adverbe "parfaitement"...
Je me suis surprise à dévorer fébrilement ce recueil, des émois à fleur de coeur. Et oui, parfaitement! (Et de 3!!!)
Emmanuelle Urien a fini de contrer mes éternelles excuses avancées pour ne pas craquer sur les bouquins de nouvelles. Je lui en veux.
Cathulu, Florinette, Martine et Sylire ont aimé aussi. Leurs billets vous conduiront vers d'autres...
Editions Quadrature
Crédit couverture: Editions Quadrature et Fnac.fr