30 juillet 2009
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Je continue ma découverte des titres de Françoise Lefèvre avec son premier livre édité, d'inspiration autobiographique.
Marie aime Raphaël un artiste peindre peu reconnu. Elle pense que son amour est magique, qu'il lui portera bonheur.
Mais la reconnaissance est longue à venir et le couple vit bientôt dans un dénuement complet.
Raphaël n'est pas tendre, sa fidélité peu fiable.
Marie continue de croire, met au monde 2 jolies petites filles.
Il faudra qu'elle arrive à une totale déchéance pour avoir la force de se sauver.
Ce récit est celui, des 4 livres de Françoise Lefeuvre que j'ai lu, qui me plait le moins.
Si l'écriture est toute poétique comme dans "Minutes des consignes heureuses", elle m'a paru moins touchante.
Je n'ai pas vraiment réussi à discerner l'amour que Marie éprouve pour Raphael. Je n'ai ressenti que peu d'empathie, de compassion pour sa misère. A vrai dire, elle m'a plutôt énervée à accepter ainsi les conditions de vie que son couple lui impose.
Pourtant je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé ce texte. L'amour maternel y est, comme dans "Le petit prince canibale", beau et fort. La description des gestes d'amour de Marie pour ses filles est toute douce. L'attendrissement est inévitable.
Flo et Florinette sont loin de mon avis mitigé. Elles ont vu dans ce livre "une quête de soi", "un hymne à la vie" que moi je n'ai pas su saisir.
Editions J'ai lu
Crédit photo: Editions J'ai lu et Fnac.fr
Marie aime Raphaël un artiste peindre peu reconnu. Elle pense que son amour est magique, qu'il lui portera bonheur.
Mais la reconnaissance est longue à venir et le couple vit bientôt dans un dénuement complet.
Raphaël n'est pas tendre, sa fidélité peu fiable.
Marie continue de croire, met au monde 2 jolies petites filles.
Il faudra qu'elle arrive à une totale déchéance pour avoir la force de se sauver.
Ce récit est celui, des 4 livres de Françoise Lefeuvre que j'ai lu, qui me plait le moins.
Si l'écriture est toute poétique comme dans "Minutes des consignes heureuses", elle m'a paru moins touchante.
Je n'ai pas vraiment réussi à discerner l'amour que Marie éprouve pour Raphael. Je n'ai ressenti que peu d'empathie, de compassion pour sa misère. A vrai dire, elle m'a plutôt énervée à accepter ainsi les conditions de vie que son couple lui impose.
Pourtant je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé ce texte. L'amour maternel y est, comme dans "Le petit prince canibale", beau et fort. La description des gestes d'amour de Marie pour ses filles est toute douce. L'attendrissement est inévitable.
Flo et Florinette sont loin de mon avis mitigé. Elles ont vu dans ce livre "une quête de soi", "un hymne à la vie" que moi je n'ai pas su saisir.
Editions J'ai lu
Crédit photo: Editions J'ai lu et Fnac.fr